L’opération les bons plants est de retour ! Comme chaque année, la Communauté de Communes vous propose l’achat groupé d’arbres et d’arbustes à tarif préférentiel.
Lancée afin de favoriser la biodiversité et la protection de l’environnement, cette opération permet aux habitants du territoire de profiter de tarifs de groupe avantageux pour l’achat de plants. Cette année, 24 espèces d’arbres et arbustes, spécifiquement adaptées au climat local, sont mises en avant.
Un livret est à votre disposition pour découvrir ces 24 essences disponibles à l’achat. Les bons de commandes sont à retirer à partir du 1ᵉʳ octobre, auprès de la Mairie de Plozévet ou sur le site internet de la Communauté de Communes.
Les bons de commande sont à remettre à la Mairie de Plozévet avant le 31 octobre. Et pour les arbres et les arbustes, ils seront à récupérer la semaine de la Sainte-Catherine, fin novembre dans vos mairies.
Dans le cadre d’Octobre Rose, mois de mobilisation nationale dédié à la lutte contre le cancer du sein, le Centre Régional de Coordination des Dépistages des Cancers (CRCDC) de Bretagne sollicite votre soutien pour sensibiliser le plus grand nombre de personnes à cette cause importante.
La municipalité est heureuse de vous annoncer la parution du troisième numéro de la « Gazetenn ar Sonerien », la gazette d’information municipale de la Mairie de Plozévet qui vient compléter le magazine annuel « Tal ar Sonerien ».
Des tirages papiers de la gazette seront disponibles à l’accueil de la mairie, de la médiathèque et du centre culturel Avel-Dro.
Le drame qu’a vécu la famille Strullu durant la Première Guerre est maintenant bien connu des Plozévétiens et des habitants des communes alentour. Une famille nombreuse de treize enfants, tous nés à Lanvoran, village natal de leur mère, Marie Anne Gentric (1858-1944), épouse d’Henri Strullu (1858-1945), leur père, originaire de Trohinel.
Sur cette fratrie de treize, trois décèdent à la naissance et deux autres en bas âge. En août 1914, quand éclate la guerre, ils ne sont donc plus que huit (cinq fils et trois filles), âgés de quinze à trente-trois ans.
Les cinq fils partiront combattre. Quatre d’entre eux tomberont au champ d’honneur, morts pour la France, et le cinquième, Jean Louis, reviendra du front grièvement blessé. Les parents Strullu perdront ainsi, coup sur coup, deux de leurs fils dès le début du conflit, Jacques Marie, le 22 août 1914, à Maissin (Belgique), puis Henri Jacques, cinq jours plus tard, le 27, à Chaumont-Saint-Quentin (Ardennes). Ils en perdront à nouveau deux autres en 1916, à moins de deux mois d’intervalle, dans la Meuse, au cours de la bataille de Verdun, Pierre Marie, le 17 avril, à Louvemont-Côte-du-Poivre, et Jean Marie, le 12 juin, à Fleury-devant-Douaumont. Les quatre frères ont été déclarés disparus. Supposés décédés, ni leurs corps, ni leurs tombes n’ont pu être clairement identifiés.
Leur mémoire a été officiellement célébrée par la municipalité de Plozévet, le 11 novembre 2016, date anniversaire à laquelle une place de la commune et une plaque commémorative ont été inaugurées à leur nom.
La suite de cette tragédie a connu un rebondissement inattendu et récent (mars 2024), en liaison avec la poursuite des recherches sur le terrain : les restes de Pierre Marie, cadet des cinq frères et mort le plus jeune (à vingt et un ans et huit mois seulement), ont fini par être retrouvés et officiellement identifiés, quelque cent huit ans après son décès.
Les développements qui suivent retracent à grands traits les principales étapes de l’enquête qui ont conduit à ce résultat. Après un rappel du contexte dans lequel s’est inscrite la disparition de Pierre Marie sont présentés les éléments de preuve qui ont permis de rétablir son identité.
Afin de prévenir l’introduction du virus de la grippe aviaire à partir de l’avifaune sauvage dans lesélevages de volailles, une zone dite « zone IAHP Atlantique Manche » est mise en place à compter dece 18 septembre dans les communes situées dans une bande de 20 km du littoral, de la baie duMont-Saint-Michel à la Vendée. Pour le département du Finistère et par arrêté préfectoral N°29-2024-09-16-00001 du 16 septembre 2024, ce sont ainsi les 247 communes listées en annexe del’arrêté joint qui sont soumises aux mesures de cette zone de prévention renforcée de l’influenzaaviaire.
Depuis juin 2024, la circulation du virus influenza hautement pathogène a été à plusieurs reprisesattestée sur nos oiseaux marins et particulièrement sur des goélands argentés. Récemment, troisfoyers d’influenza aviaire en élevage ont été confirmés en Bretagne : un élevage multi-espèces enIlle-et-Vilaine le 12/08/2024, un élevage de dindes dans le Morbihan le 20/08/2024 et un autreélevage multi-espèces dans le Finistère le 02/09/2024. La contamination de ces trois foyers est àrelier très probablement à un contact direct ou indirect avec la faune sauvage locale sédentaire.
Dans ce contexte, il est apparu nécessaire de mettre en place des mesures supplémentaires pourprévenir l’introduction du virus dans tous les élevages de volaille y compris les basses-cours.
Les principales mesures de biosécurité imposées dans cette zone Atlantique Manche correspondentà celles prévues lorsque le niveau de risque en matière de grippe aviaire est classé « élevé », à savoir :
– Mise à l’abri des volailles (élevages et basses-cours),
– Interdiction d’organiser des rassemblements de volailles et de faire participer des oiseauxoriginaires de cette zone, à des rassemblements organisés dans le reste du territoire,
– Autorisations limitées des transports et introduction dans le milieu naturel de gibiers à plumes etde l’utilisation des appelants pour la chasse.